Alors que je suis dans les vestiaires entrain de me changer, je regarde mon portable, je l'éteind et le mets dans mon casier, puis j'enfile ma blouse blanche, puis je me dirige vers l'accueil, je regarde sur le tableau, je vois que la plupart des gens sont passé, donc je vais voir dans la salle d'attente et j'appelle le nom du femme, je me dirige avec elle dans la salle de suture, elle c'était ouvert le bras, alors que je la fais s'installer, je prends le materiel dont j'ai besoin puis je me rapprocher d'elle tout en m'occupant de ne pas lui faire de mal, on m'appeller monsieur douceur, oui, car je ne supporter pas faire de mal, enfin alors que je finis de la recoudre, je prend des bandes et lui fais un bandage.

Puis je quitte la salle de suture puis je me dirige avec la jeune femme jusqu'à l'accueil ou je lui prescrit des médicaments pour la douleur, je sais que parfois la douleur ne peut pas être supportable alors je lui prescrits et je lui dis au revoir, je mets dans la pile des dossiers terminé, puis je continue ma visite je prends le papier avec un nom que j'ai déjà entendu à l'université, mais malheureusement je n'arrive pas à me mettre un visage sur ce nom,; je sais que je m'en souviendrais sans doute quand je vais le voir. Alors que je m'approche de la salle d'attente et je rétorque.

Monsieur Whitecker, c'est votre tour.

Alors que le jeune homme vient vers moi, je le regarde et je me dis en moi-même que je le connais vraiment, ce jeune homme est bien à l'université ou je travaille, cela dis je ne sais pas pourquoi je connais son nom, sans doute que dans la salle des profs on parle de lui, enfin alors quej e le vois avec un linge sur son arcade, je lui dis.

Veuillez me suivre.

Et on se dirige vers la deuxième salle de suture, et oui, l'hygiène pour moi est important tant que la salle n'est pas désinfecté, je ne l'utiliserais pas, alors que je le vois, je lui ouvre la porte en attendant qu'il rentre.

Je le regarde et une fois qu'il s'installe, je prépare le matériel, puis je me retourne, je me demande bien ce qu'il s'est passé, je ne suis pas du genre à me mêler des choses qui ne me regardent pas, mais étant médecin, je suis obligé de prendre des informations, alors qu'il me dit de ne pas le regarder comme ça, comme-ci j'avais de la pitié? Non, je n'ai pas de pitier, mais de la compassion.

Tu t'appel Gabriel ? Et sachce que je ne prends pas mes patients en pitié ou du moins je ne les regarde pas avec pitié, par contre je vais devoir te demander ce qu'il s'est passé ? Parce que je vais te soigner et que dans le dossier médicale je dois justifié.

Je le regarde, les jeunes hommes dans son genre, j'en vois assez souvent et ce que j'ai appris avec le temps c'est que ça ne sert à rien de tout faire pour leur faire cracher le morceau car généralement ils maintiennent leur mensonge, je mets des gants puis je me dirige vers lui.

Très bien, je vais le noté, mais vous savez que vous pouvez porté plainte contre vos agresseurs ? Enfin je dis ça, mais vous faite ce que vous voulez. Je vais vous demandé de vous allongés, que je regarde votre blessure.

Alors que je le regarde je prends mon stylo et je note ce qu'il m'avait dis, agression, arcade ouverte et lèvre gonflée, puis je referme le dossier, je prends le materiel et je souris au jeune homme en attendant qu'il s'allonge.

Alors que je suis entrain de soulever le tissu pour voir sa blessure, je lui avais dis qu'il peut porté plainte et pour moi, je sais que c'est facile à dire, mais dur à faire, mais il ne faut pas laisser les gens qui ont fait ça s'en sortir, alors que je prends une compresse j'enlève son tissu, puis passe un coup avec la compresse, puis tout en l'écoutant, je rétorque.

Ah bon ? Je ne veux pas me mêler des choses qui ne me regarde pas, mais je pense que la personne qui ta fais ça, ne doit pas s'en sortir et la vengeance est une mauvaise chose.

Puis je commence à prendre le materiel, puis à lui faire les points de sutures, je ne comprends pas comment ça se fait que les gens ont aussi peur de porter plainte ? La jusice est de leur côté pour le moment, même si parfois je dois bien l'avouer, la justice est vite acheter, alors que je continue de faire les points, je me demande bien ce qui c'est passé, je sais c'est mon côté trop "curieux" et aussi qui veut aidé, en même temps, je dois être à l'écoute et aider mon prochain surtout dans ma profession.

Alors que je continue de le regarder, je continue de faire les points de sutures, je l'écoute donc parler.

Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, porter plainte c'est assumer un acte qui est fait, mais le mal qu'on te fait, tu dois y pensée, je sais que c'est assez dur comme ça, mais tu ne dois pas te laisser démonter, je sais que j'ai l'air d'être un vrai relou qui ne comprends rien à rien, mais j'ai vu beaucoup de jeune qui se font tabassés et je leur conseille la même chose, donc j'espère que tu ne seras pas offensé. Tu as le choix c'est sur et j'espère qu'il sera bon.

Alors que je finis de faire les points de suture, je prends un pansement puis je lui mets sur l'arcade, je veux que ça ne se voit pas trop donc j'en ai pris un petit.

Je voudrais vous voir dans une semaine pour retirer les fils et ensuite voir si vous allez bien, bien-sûr, vous n'êtes pas obligé de venir me voir, mais vous devez toute de même aller voir votre médecin traitent au minimum.

En même temps, tu connais mieux les risques vu que c'est toi qui a été frapper, en tout cas, si tu as un problème ou que tu veux parlés à quelqu'un, mais que tu ne sais pas à qui le faire, alors je te conseille de faire quelque chose c'est de m'appeler, je sais que ce n'est pas évident de parler à quelqu'un qu'on ne connait pas, mais cela fait du bien parfois car la personne que tu ne connais pas, ne peut pas juger ta vie.

Enfin alors qu'il se redresse je mets le matériel utilisé dans une corbeille pour le faire désinfecté, puis je le regarde et je l'écoute quand il me dit que jen e suis pas le premier ni le dernier à lui dire de porter plainte, mais je souris et je lui dis.

Oh, mais tu sais, je ne conseille ensuite si la personne ne le fais pas, je ne m'en mêle pas, je ne suis pas du tout du genre à me mêler de la vie de mes patients, si tu ne le fais pas, cela ne te regarde que toi, moi je ne suis qu'un médecin qui te conseille, ensuite tu es libre de ne pas le faire. Et je n'attends rien si tu reviens, ne t'inquiète pas, je ne suis pas du genre à insister plus, je ne dis que ce que je pense.

Alors qu'il se lève, je l'ammène à l'accueil puis je lui remplis une ordonnace au cas-où il aurait des migraines ou alors des nausées à cause du coup, alors je lui remplis et je lui tends mon crayon pour qu'il signe les charges faites.

Tout d'abord veuillez signé la feuille des charges médicaux et si vous voulez mon numéro, je peux vous le donné, si vous avez vraiment besoin de parler, je serais là.

Ce n'est pas évident d'être écouter par les jeunes qui n'en font qu'à sa tête, je ne suis pas méchant, je ne dis que ce que je pense et j'espère ne pas l'avoir froisser, car ce n'est pas mon but premier de le faire. Enfin alors que je le regarde tout en souriant, enfin je continue de le regarder et je rétorque.

Non, tu as raison je ne suis pas psychologue ou psychiatre, mais parfois parler ça fait du bien, mais ça j'ai l'impression que les jeunes l'oublient, parle avec quelqu'un qui est plus âgée et qui peut te conseillé c'est ça mon conseil. Parce que les gens ont dû mal à comprendre votre situation et c'est ça qui est embêtant, ensuite je ne peux pas dire que je trouverais la solution non plus, parce que je ne suis pas sur. En tout cas, il n'y a pas de soucis, j'espère que vous prendrez tout de même soin de vous. De rien, a dans une semaine alors.

Dis-je tout en souriant, puis je dépose son dossier dans la pile, puis je vais voir mes autres patient alors que je vois le jeune homme partir en direction de la sortie, puis je vais dans la salle d'attente, puis je prends une autre patiente.